Le progrès numérique a-t-il des limites ?

Jusqu’où peut aller le progrès numérique

Le progrès numérique nécessite de l’argent. De nombreux investisseurs sont enthousiasmés par l’évolution de la technologie, du digital ou du numérique. Rappelons que le progrès numérique commençait surtout à partir de l’année 2010, une année d’explosion de l’internet mobile. A l’époque, la valeur de toute la chaine du numérique a été une grosse discussion notamment au niveau de la neutralité du net.  Plusieurs éléments expliquent ce progrès qui a fait évoluer le monde de la technologie. A savoir, la multiplication des terminaux connectables, l’augmentation des investissements dans les réseaux de télécommmunication, l’explosion des applications smartphones, qui d’ailleurs est de plus en plus développée aujourd’hui, la multiplication des objets connectés et des logiciels, enfin l’intelligence artificielle qui commence à révolutionner le travail. Mais l’utilisation de tous ces outils de développement technologique a des limites, il ne faut pas oublier que le progrès numérique peut devenir un danger à l’humanité, à l’exemple des algorithmes de plus en plus performants utilisés dans le big data, qui permettent de détecter plusieurs types d’informations, la machine learning, le facial coding, et bien d’autres, ces progrès bien qu’ils soient performants sont risqués et peuvent détruire l’humanité.

Contre le droit ou sans droit ?

Dans notre monde digital, tout va trop vite, les nouvelles technologies nous bousculent, le progrès numérique est un monde risqué. Vivre dans l’ère immatérielle ne peut que présenter une facilité dans notre quotidien certes, mais les progrès numériques demeurent risqués et peuvent nuire à la vie personnelle d’un individu jusqu’à celle d’une population entière. L’innovation du business est importante mais la protection des données personnelles est une vraie préoccupation. Les juristes peinent à nous protéger contre les intrusions des états et des multinationales dans notre vie privée. Toutefois, le droit n’est pas en retard face au progrès numérique,  il existe des cadres législatifs qui protègent l’ensemble des données. Le progrès numérique n’est donc pas sans droit ni contre le droit.